Tayeb Benabderrahmane est un chef d’entreprise franco-algérien, né le 24 janvier 1981 à Gennevilliers. Spécialiste en conseil géopolitique et économique international, il débute son engagement dans les années 2000 à travers des projets sociaux destinés à l’insertion des jeunes en difficulté.
En 2016, il cofonde avec Ibrahim Sorel Keïta « Le Club Géopolitique », un think tank dédié aux réflexions stratégiques et à l’influence, consolidant ainsi son réseau auprès de personnalités politiques et diplomatique
En 2017, lors de la crise diplomatique du Golfe, il intervient comme conseiller stratégique, mobilisant l’opinion publique en faveur du Qatar.
En 2018, il devient conseiller au Comité national des droits de l’homme du Qatar (NHRC), chargé de promouvoir l’image du pays et d’enquêter sur des affaires sensibles, dont des cas de corruption impliquant des fonds publics.
En 2019, enquêtant sur les investissements qataris en Europe, il constate l’inaction des autorités face à ses signalements. En novembre, il met fin à sa collaboration avec le NHRC pour se consacrer à ses projets en tant que consultant indépendant.
En janvier 2020, Tayeb Benabderrahmane est arrêté par les services de renseignement qataris sans motif légal et placé en détention pendant 307 jours. Durant cette période, il subit des pressions psychologiques et physiques sévères, sans accès à une assistance juridique.
Libéré en novembre 2020, il rentre en France et engage des actions légales contre l’État du Qatar, notamment en déposant une affaire auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).
Dès les années 2000, Tayeb Benabderrahmane s’implique dans des projets sociaux visant à favoriser l’insertion des jeunes en difficulté. Son engagement se renforce en 2016 avec la création du « Club Géopolitique », un think tank destiné à approfondir les réflexions stratégiques et à favoriser les échanges entre experts internationaux.
L’expérience de Tayeb Benabderrahmane met en lumière les défis des professionnels évoluant dans des environnements géopolitiques complexes. Son parcours souligne l’importance de la protection des droits humains dans les relations internationales et la nécessité d’une vigilance accrue face aux enjeux de corruption et de gouvernance mondiale.
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